paroletsilencefheyoan

paroletsilencefheyoan

Philo ? Réflexion...


Une jeune femme atteinte de la maladie de Parkinson ( 2)

 

Suite de l'article de matthieu ricard, moine bouddhiste, sur sa soeur :

Une étoile qui danse sur le chaos - 2

http://matthieuricard.org/blog/posts/une-etoile-qui-danse-sur-le-chaos-2

 

« Je n’appartiens plus depuis longtemps à la famille des gens normaux, » écrit ma sœur Ève dans Une étoile qui danse sur le chaos , un ouvrage lumineux, poètique et profondément inspirant ; « je ne vis pas comme eux. Je n’appartiens pas plus à celle des parkinsoniens et je ne vis pas comme eux. La médecine ne s’intéresse pas à cette différence. » Cette différence qu’elle a su créer est riche d’enseignements susceptibles de nous éclairer et de nous aider, dans la joie comme dans la souffrance.

Le bonheur ne nous est pas donné ni le malheur imposé. Nous sommes à chaque instant à une croisée de chemins et il nous appartient de choisir la direction à prendre. C’est la force d’âme et la liberté intérieure qui font toute la différence.

« Que faire quand on est privé du geste ? » écrit ma sœur Ève dans Une étoile qui danse sur le chaos. « Peut-on vivre autrement ? Peut-on créer autrement ? Que signifie cette différence ? Où commence la différence ? Quelles victoires possibles ? Si on se bat, c’est pour une guérison. La victoire ne sera pas celle du corps mais celle intime et spirituel de l’esprit. »

« Ici, tu sais, on ne rate jamais rien, » a dit un jour Ève à l’un des enfants handicapés dont elle s’est occupé toute ta vie, « puisqu’il existe un lieu où rien n’est jamais raté ». Ce lieu, c’est notre nature véritable, la pépite d’or qui est en chacun de nous, même si nous avons oublié sa présence, comme le mendiant qui, à la fois pauvre et riche, ignore le trésor enfoui sous sa cabane. Rentrer en possession de ce qui nous appartient, notre nature profonde, oubliée, nous permet de vivre une vie pleine de sens. C’est là le plus sûr moyen de trouver la sérénité et d’épanouir l’amour en notre cœur.

Ève Ricard, (2015). Une étoile qui danse sur le chaos , Albin Michel.

 

09/01/15


09/01/2015
0 Poster un commentaire

Une jeune femme atteinte de la maladie de Parkinson

Je relaie ici l'article de Mathieu Ricard, moine bouddhiste interprète du Dalaï Lama, d'origine française, grand scientifique participant aux congrès internationaux, sur la façon dont sa soeur vit cette maladie.

Voir le blog de Mathieu Ricard : http://matthieuricard.org/blog/posts/une-etoile-qui-danse-sur-le-chaos-1

 

 

Une étoile qui danse sur le chaos -1

 

Ma sœur Ève fut atteinte précocement - elle avait juste 42 ans - par la maladie de Parkinson. Elle réagit avec un grand courage et de la façon la plus constructive possible, comme elle le décrit dans son émouvant récit, poème et enseignement, Une étoile qui danse sur le chaos . Les jeunes parkinsoniens ne bénéficient pas en France de l’aide sociale accordée à d’autres travailleurs handicapés (travail à mi-temps, etc.), car c’est une maladie qui est censée affecter les personnes âgées, lesquelles, habituellement, ont déjà quitté le milieu du travail. En dépit de sa maladie, Ève continua à se dévouer à plein temps aux enfants issus de milieux défavorisés qu’elle a accompagnés pendant toute sa carrière d’orthophoniste.

Ma sœur Ève et son époux, Yann, me donnent tous les jours une leçon de vie. Une leçon transmise non par des mots mais par l’exemple. Une leçon qui n’est pas donnée à une heure ou à une date fixe mais à chaque instant, avec simplicité, constance et dignité. Ève m’enseigne le courage, Yann la sollicitude. Un courage qui ne consiste pas seulement à faire face avec fortitude à une maladie éprouvante dont elle sait qu’elle ne guérira pas, mais surtout à avoir adopté et maintenu sans fléchir une vision et une attitude exemplaire à l’égard du mal qui l’affecte. Cette vision, elle l’articule en quelques mots : « Je sais que j’ai une maladie et pourtant je ne suis pas cette maladie et je ne le serai pas. » Cette attitude fait une immense différence, car en ne s’identifiant pas à la maladie, Ève a ouvert et préservé un espace de liberté pour vivre, créer et aimer. Cette espace lui permet de choisir comment vivre une maladie qu’elle n’a pas choisi de subir. Une maladie qu’elle a prise en main comme une musicienne qui trouve sur son chemin un instrument abîmé et sait, par la magie de son expertise, en tirer une mélodie émouvante et sublime.

Quelles que puissent être l’adversité extérieure et la douleur du corps, c’est l’esprit qui les traduit en mal-être. C’est lui qui connaît la joie au cœur de la tempête ou la tristesse dans un paradis. Un changement, même minime, dans la manière de percevoir et d’interpréter le monde, transforme considérablement la qualité de chaque instant de notre existence.

Partout où la vie s’épanouit dans l’univers, la souffrance est présente : maladie, vieillesse, mort, séparation d’avec ceux que l’on aime, union forcée avec ceux qui nous oppriment, privation de ce dont on a besoin, confrontation avec ce que l’on redoute...

Mais la souffrance ne possède pas un caractère absolu, et le malheur n’a pas de causes immuables. Nous n’avons qu’un contrôle limité, temporaire et souvent illusoire sur le monde extérieur et sur notre corps, mais notre esprit, lui, est par nature beaucoup plus flexible : s’il est difficile de changer le monde, il est toujours possible de transformer notre façon de le percevoir.

Maladroitement, nous recherchons le bonheur en dehors de nous-même et lorsque nous nous trouvons désemparés face à la souffrance, c’est encore à l’extérieur que nous cherchons de l’aide. Pourquoi tant hésiter à tourner notre regard vers l’intérieur ? C’est pourtant bien au cœur de la nature même de l’esprit que l’on peut s’ouvrir au potentiel de force et de sérénité qui est toujours présent au plus profond de soi.

Ève Ricard, (2015). Une étoile qui danse sur le chaos , Albin Michel.

 

07/01/15


07/01/2015
0 Poster un commentaire

Un livre formidable pour une éducation respectueuse et pleine d'amour !

A l'heure où les émissions comme Super Nanny ou Le grand Frère ont de plus en plus de succès, je voudrais parler d'une approche éducative respectueuse de tous : adultes comme enfants ou adolescents.

Elle existe depuis une trentaine d'années, et a été initiée par deux femmes : Adèle Faber et Elaine Mazlish, deux psychologues Canadiennes*.

Les deux auteures ont elles-mêmes trois enfants chacune, et l'une des filles a pris la relève depuis une dizaine d'années. Elles animent des ateliers dans le monde et principalement aux Etats-Unis.

Elles expliquent qu'en éducation, "notre but est de nous adresser à ce qu'il y a de meilleur chez nos enfants, leur intelligence, leur initiative, leur sens des responsabilités, leur sens de l'humour, leur capacité à être sensibles aux besoins des autres."

Elles veulent "mettre fin aux discours qui blessent l'âme" et elles recherchent "un langage qui nourrit l'estime de soi".

 
Elles veulent "créer un climat émotionnel qui encourage les enfants à coopérer, parce qu'ils se soucient d'eux-mêmes et se soucient de nous".

Elles veulent enfin "donner l'exemple d'une communication respectueuse, espérant voir nos enfants l'utiliser avec nous : [ pendant leur enfance], pendant leur adolescence, et, finalement, une fois devenus nos amis à l'âge adulte."

 

J'avoue que si j'avais eu connaissance de ces livres quand j'ai élevé mes enfants, ça m'aurait bien rendu service ! Je reconnais cependant que j'ai réussi ( ainsi que le papa, et avec lui), certaines choses... J'aurais sans doute pu, grâce à ce livre, agir avec plus de conscience, de connaissance de soi, d'attention au ressenti de chacun... Mais je ne peux pas refaire l'histoire !... Cependant, dans mon métier, je peux me servir de toutes ces habiletés que les deux auteurs explicitent pour nous. Les mettre en pratique. Petit à petit.

J'aime assez aller voir comment "Super Nanny" s'en sort dans les familles qui font appel à elle, mais désormais, je lis l'émission selon une autre grille. Elle propose souvent la mise à l'écart de l'enfant dont le comportement n'est pas correct ou acceptable. Les deux auteures canadiennes ne sont pas convaincues par cette méthode. Elles préfèrent en premier lieu accueillir les sentiments de l'enfant, lui permettre de les nommer et lui apprendre, par exemple, à les exprimer autrement.

Dans l'émission, la "super nounou" propose souvent de punir les enfants. Si l'isolement ne suffit pas, elle peut supprimer les jouets de la chambre. L'enfant est ainsi doublement puni. Non seulement il peut penser qu'il est très mauvais puisque personne ne supporte plus sa présence, mais on lui retire quelque chose qui lui appartient... Les deux psychologues proposent une autre approche, beaucoup plus douce pour chacun des membres de la famille. Il est juste nécessaire de s'y exercer, car ce n'est pas du tout naturel, et on n'y penserait vraiment pas, si elles ne nous l'apprenaient pas.

Il ne s'agit pas ici de faire une critique ni de l'émission ni de la personne, qui par ailleurs, montre à nombreuses reprises, son altruisme et son efficacité pour resouder des familles et des couples qui se déchirent.

 
Il s'agit pour moi de vous donner envie d'ouvrir ce livre et d'y mettre le nez... Vous ne l'en sortirez plus, sauf habité(e) d'une frénésie de vous exercer, pour votre plus grand bonheur et celui de votre famille...

 

*Parler pour que les enfants écoutent... Ecouter pour que les enfants parlent

Faber et Mazlish

Edition du Phare

 

Autres titres des mêmes auteures :

 

- Parents épanouis, enfants épanouis : cultivez le bonheur dans votre famille

- Frères et soeurs sans rivalité

- Parler pour que les enfants apprennent à la maison et à l'école

- Parler aux ados pour qu'ils écoutent, les écouter pour qu'ils parlent

 

17/11/14


18/11/2014
0 Poster un commentaire

Un livre jeunesse qui, malgré son apparence un peu déjantée, peut servir même aux grands !...

Il s'agit du Livre qui te rend super méga heureux, de Françoize Boucher, chez Nathan.

 

En voici le résumé des chapitres, présentés sous forme très bubble gum et couleurs flashies pour donner aux jeunes envie de le feuilleter, voire de le dévorer ...mais le fond reste très sage !

 

- Tout le monde peut-il être heureux ?


- Ton arrivée sur Terre


- Bonne nouvelle : ta vie est élastique ! ( tu peux y mettre ce que tu veux...)


- Le truc moins cool : le bonheur ne tombe pas du ciel...


- Super important : comment reconnaître le bonheur quand il est là ?


- Les règles du bonheur :


1) Mets de l'amour partout !
2) Regarde toujours la vie du plus chouette côté
3) Cultive l'amitié


4) La liberté est indispensable au bonheur
5) Dis non à la violence, recherche plutôt la paix


- Astuces pour devenir encore plus heureux :


1) Fais-toi super confiance
2) Aime-toi comme tu es
3) Choisis bien tes amis


4) Sois généreux et solidaire, partage avec les autres
5) Zigouille la peur et la timidité en 4 étapes
6) Arrête de penser que tout est mieux chez les autres


7) Sois curieux ! Explore, découvre et comprends le monde mystérieux et magique qui t'entoure...
8) N'écoute pas les abominables rabat-joie ( espèce très dangereuse !)
9) Cesse de vouloir toujours plus de tout !


10) N'essaie pas de ressembler à tout le monde
11) Réfléchis à ce qui te rend vraiment heureux et fais-le !
12) Profite de la nature


13) Ne passe pas ton existence scotché à des écrans !
14) Rigole un max à la moindre occasion
15) Essaie d'améliorer ce que tu peux transformer et... d'accepter ce que tu ne peux pas changer


16) Fais ce qu'il faut pour péter la forme tous les jours
17) Suis ces conseils tous les jours
18) Lorsque tu as l'impression que le monde est vraiment pourri...relativise, mon chou !


19) Evite les embrouilles et les complications
20) Ne râle pas pour rien
21) Si malgré tous les conseils extraordinaires de cet ouvrage, tu as du mal à trouver le bonheur, parles-en. Le monde est bourré d'éminents spécialistes qui peuvent t'aider.


22) La vraie bonne idée : montre ce livre à tes parents, car les trucs qui rendent les enfants super happy fonctionnent aussi pour les adultes !


- Et hop ! Au boulot !

 

26/03/14


26/03/2014
0 Poster un commentaire

Rêves lucides et visualisation...

C'est chaque fois que je ne cherche pas que je tombe sur une émission de télévision intéressante. Cette fois, c'était sur arte, dimanche dernier, je crois, à propos des rêves lucides.

 

Je ne savais pas de quoi il s'agissait, mais en écoutant un ou deux témoignages, j'ai vite compris que j'étais concernée depuis quelques années déjà.

 

Qu'est-ce qu'un rêve lucide ? C'est un rêve normal, pendant notre sommeil, mais tout à coup, on prend conscience, tout en rêvant, qu'on est en train de rêver. Ça m'est arrivé la première fois alors que je n'arrêtais pas de faire le même cauchemar. Bien entendu, angoisse et surtout très peur du dénouement qui promettait chaque fois d'être une apothéose de l'horreur. Je dois déjà souligner que je ne me souvenais plus que je cauchemardais au réveil. C'est au cours du cauchemar, lorsque je le reconnaissais, que je savais que je l'avais déjà fait. C'est ainsi que j'ai pris conscience que j'étais bel et bien dans un rêve. Il s'est passé quelques nuits sans que cela change quoi que ce soit, excepté le fait que j'étais soulagée de savoir que ce n'était pas la réalité. Mais l'issue du cauchemar, dont je ne me souvenais jamais, ce qui confirmait semble-t-il que c'était l'horreur, me faisait toujours affreusement peur. Il se trouve que lors d'un de ces fameux cauchemars récurrents, je pris l'initiative, tout simplement, de modifier le scénario, et donc, de changer la fin du rêve pour qu'elle soit heureuse. Je me souviens parfaitement avoir retrouvé ma sérénité immédiatement ( dans le cour du rêve, sensation de sourire). Le cauchemar disparut définitivement de mes nuits.

 

Depuis, j'ai quelquefois conscience que je suis en train de rêver, mais je n'ai jamais repris l'initiative de changer le cours du scénario d'un autre rêve. Je pensais que cela n'arrivait qu'à moi, que j'étais sans doute un peu marteau, et je n'en dis mot à personne...

 

Et voilà que je tombe sur cette émission où j'apprends non seulement que plein de gens font ce qui est officiellement nommé des rêves lucides, mais où en plus, j'apprends qu'ils sont de plus en plus étudiés scientifiquement, par la psychologie et par la neurologie. Lors de l'émission, l'avantage de faire des rêves lucides où l'on peut prendre l'initiative est mise en lumière, notamment dans les apprentissages sportifs. Un jeune gymnaste raconte son rêve ( je retranscris ce dont je me souviens du témoignage) :

  • Je rêve que j'entre dans le gymnase. Il est vide, je ne peux pas m'entraîner. Je me dis que je vais ressortir et que la prochaine fois que j'entrerai dans le gymnase, tout sera prêt pour mon entraînement ( 1ère décision de changer le scénario du rêve). Je le fais, et lorsque je pénètre de nouveau dans le gymnase, la barre fixe est installée. Je commence à m'entraîner mais je sens que je n'arrive pas à faire correctement certaines techniques. Je décide de faire intervenir mon professeur ( 2è modification lucide du rêve) : il doit me montrer les mouvements et lorsqu'il fait ceux qui sont trop durs pour moi, il doit me le signaler pour que je puisse l'observer attentivement. Le professeur commence donc l'exercice et chaque fois qu'il réclame mon attention précise, il me dit : Hep ! Alors, j'observe attentivement sa technique pour pouvoir la reproduire plus fidèlement. Le lendemain à l'entraînement, je passe toutes les techniques sans souci.

 

En fait, tout cela me rappelle une expérience passée. Lorsque j'avais une trentaine d'années, j'ai eu la chance de pouvoir m'exercer avec un champion belge d'origine vietnamienne du taekwondo. Nous étions un groupe d'adultes et il nous demanda de travailler par deux. Nous devions faire des figures relativement acrobatiques, pour des gens absolument pas entraînés. Dieu sait que ce n'était pas mon truc de faire de la voltige par-dessus un partenaire !... Il s'amusait bien, car nous avions tous l'air de boulets pesant une tonne... Lorsqu'il nous suggéra de fermer les yeux, et de nous imaginer plusieurs fois en train de réussir l'acrobatie. Je le fis et lorsque je réitérai ma tentative : je la réussis aussitôt ! Sans aucun effort !... On aurait dit que des Anges me portaient et me faisaient voler avec eux !... ( Euh, oui, bon ben... A chacun ses métaphores, n'est-ce-pas ?...). Bref ! Mes camarades autour de moi semblaient voler, eux aussi, et nous entendions les cris de surprise et les rires autour de nous, tant nous étions émerveillés de la force de cette technique mentale, qui commande au corps de faire des miracles sans effort ( et sans danger, dois-je le préciser ?...).

Un exemple de ces acrobaties que le jeune professeur nous demandait ? Je m'en souviens de deux. Il fallait faire la roue ( je suis nulle pour ça d'habitude !...) par-dessus notre partenaire, en commençant par s'appuyer sur un de ses bras, tandis que lui était en position debout, mais bien campé sur ses jambes pliées et écartées au sol pour l'assise. L'autre acrobatie nous demandait, alors que le partenaire se tenait debout face à nous, de sauter de manière à s'asseoir au niveau de son cou, les deux jambes posées sur ses épaules... Vous voyez le tableau ?

 

Depuis, il m'arrive parfois de visualiser ce que je veux réussir physiquement, comme je l'ai appris à ce moment-là, mais trop peu souvent, je pense... Je vais m'y entraîner ! Non pas à l'acrobatie, mais à la visualisation...

 

Quant aux rêves lucides, je me fiche d'en faire encore ou pas, ce n'est pas vraiment un souci pour moi. Mais j'avoue que je suis contente que des scientifiques étudient ce phénomène intéressant. J'aimerais bien aussi qu'ils étudient la visualisation. Je suis sûre que les images du cerveau révéleraient, comme pour les rêves, que le cerveau active les mêmes zones que lorsque le corps fait réellement l'action.

 

Un site intéressant au sujet du rêve lucide :

Au Cœur du Rêve

Enquête autour de l'éveil paradoxal et libérateur
au miracle infini de la pure conscience de soi
Alexandre QUARANTA

Thèse de Doctorat de Philosophie
Sous la direction de Daniel Charles
Université de Nice
1994-1997.

http://florence.ghibellini.free.fr/revelucidea/AQ86.html

Intéressant aussi d'ouvrir le sommaire, auquel on a accès en bas de page...

 

10/01/14


10/01/2014
0 Poster un commentaire


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser